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TERMINALES L – G5 – 2018-2019 – USA – BRESIL : ROLE MONDIAL, DYNAMIQUES TERRITORIALES

Terminales L –  G5 – 2018-2019 – USA – Brésil : rôle mondial, dynamiques territoriales



D'après un travail de Yann Bouvier
https://yann-bouvier.jimdo.com/ressources/geographie/schema-etats-unis-bresil/

Inégalités aux USA : des élèves SDF


II- B

2. Un soft power qui s’affirme : le Brésil

- Carnaval (de Sao Paulo 2019)
- Chico Buarque - Essa Moça Tá Diferente;
- Gilberto Gil - Toda Menina Baiana (Ao vivo) - A Novidade;

Pour la musique sud-américaine, instrument d'opposition des dictatures dans les années '60, voir surtout le Chili et Victor Jara. Connu pour El derecho de vivir en paz, son interprétation dynamique de La Partida, ou Caminando camindano a été torturé et mis à mort par la junte en 1973. Le procès de ses bourreaux (sauf un, installé en Floride et protégé par la justice US qui refuse de l'extrader) à eu lieu en 2018.

III – Deux dynamiques territoriales face à la mondialisation

Schéma – Les dynamiques territoriales des USA et du Brésil



source d'origine



A. Le territoire étasunien

1. Un territoire maîtrisé

Dances with Wolves : voir la frontier avant qu'elle ne disparaisse; Trailer;
Route 66, chantée par le crooner Nat King Coole ou Chuck Berry (années '60), Depeche Mode (1987)
Pipeline US:


2. Un « centre » ancien – le nord-est

Detroit




Reportage d'Arte - USA : Detroit, la renaissance;


3. Sun belt

Pugetopolis;

4. Des périphéries 

Alaska : la vision de Sarah Palin (républicaine conservatrice, gouverneur de l'Alaska de 2006 à 2009)


B. Le territoire brésilien

« La Suisse, le Pakistan et le Far West » (H. Théry)
Transamazonienne (début du chantier en 1970)


2. Des périphéries +/_ intégrées

Amazonie Bleue
 
 

Brasilia, une capitale ex-nihilo : extrait de l'Homme de Rio (1964)
Le Congrès national, construit en 1960 par l'architecte Oscar Niemeyer, à Brasília au Brésil.












C. Deux États face aux problèmes sociaux et environnementaux


1. Lutter contre les inégalités sociales


Les sans-toit du Brésil

Face au président brésilien Bolsonaro, la résistance des sans-toit

Philippe Escande Editorialiste économique au « Monde »





    Au Brésil, des milliers de familles occupent des immeubles vides à Sao Paulo. Des « terroristes » aux yeux du président.
    Par Claire Gatinois Publié aujourd’hui à 17h58, mis à jour à 18h15
    Angelica Nsoso et ses enfants Kissalu, Felipe et Jeouany dans leur appartement de l'occupation 9 de julho  quartier Bela Vista à Sao Paulo au Brésil. Famille Angolaise réfugiée au Brésil. Angelica est arrivée enceinte au Brésil 1 an plus tôt, à la maison des immigrants, un centre catholique de Sao paulo, ils arrivent de Luanda ( Angola) et sont réfugiés. Des brigands se sont introduits chez eux et ont menacés de violer Kissalu si ils ne donnaient pas tout l’argent. La famille a tout perdu ou presque ce jour là.
    Angelica Nsoso et ses enfants Kissalu, Felipe et Jeouany dans leur appartement de l'occupation 9 de julho  quartier Bela Vista à Sao Paulo au Brésil. Famille Angolaise réfugiée au Brésil. Angelica est arrivée enceinte au Brésil 1 an plus tôt, à la maison des immigrants, un centre catholique de Sao paulo, ils arrivent de Luanda ( Angola) et sont réfugiés. Des brigands se sont introduits chez eux et ont menacés de violer Kissalu si ils ne donnaient pas tout l’argent. La famille a tout perdu ou presque ce jour là. LUDOVIC CAREME POUR LE MONDE
    Lorsqu’elle parle de son « pays », l’Etat de Goias, dans le centre du Brésil, perce dans sa voix l’amertume des exilés. Ester Eusebio Barboza da Silva, n’avait pas 20 ans quand elle a débarqué à Sao Paulo, la mégalopole de béton à la réputation d’eldorado économique. Sûre, à l’époque, que la prospérité serait la récompense de ses efforts. Agée de 48 ans, mère de trois enfants dont un petit garçon de 6 ans, la voici, en ce début février, résidant avec son mari Roberto dans un deux-pièces sombre et décati, éclairé au néon, dans l’immeuble abandonné dit « 9 de Julho », dans le centre de Sao Paulo.
    « Réfugiée dans son propre pays », explique-t-elle, Ester habite une « ocupaçao » (occupation), dit-on au Brésil. Un « squat », traduit-on, que la famille a rejoint il y a quelques mois faute d’être en mesure de payer un loyer de 1 250 reais (290 euros) depuis le licenciement de Roberto, chauffeur de camions. En s’occupant de personnes âgées dans les quartiers chics de Morumbi, Ester gagne 1 500 reais par mois (350 euros). Un peu plus que le salaire minimum au Brésil (998 reais). « Et j’ai un diplôme universitaire », précise-t-elle.

    « Qui ne lutte pas, meurt »

    A l’entrée de l’immeuble, propriété de l’Institut national de la sécurité sociale (INSS), vide depuis la fin des années 1990, squatté pour la première fois en 1997, s’étale un tag : « Qui ne lutte pas, meurt. » Un peu plus loin dans un salon communautaire, deux chiffres collés sur un réfrigérateur rappellent l’enjeu de la bataille : plus de 600 000 logements sont inoccupés à Sao Paulo et plus de 396 000 familles sont sans toit.
    Maria de Ajuda, à gauche son fils Peter Texeira, et de droite à gauche son filleul Antonio Vince, Cristal Texeira (sa fille) et Marcos Gonçalves (son fils ainé) dans la cuisine de leur appartement, occupation 9 de Julho, quartier Bela Vista à Sao Paulo - Brésil. Le mari de Maria, Franck est absent ce jour, il a perdu son emploi de portier d’immeuble dans le centre de Sao Paulo il y a 2 mois. 
    Maria de Ajuda, à gauche son fils Peter Texeira, et de droite à gauche son filleul Antonio Vince, Cristal Texeira (sa fille) et Marcos Gonçalves (son fils ainé) dans la cuisine de leur appartement, occupation 9 de Julho, quartier Bela Vista à Sao Paulo - Brésil. Le mari de Maria, Franck est absent ce jour, il a perdu son emploi de portier d’immeuble dans le centre de Sao Paulo il y a 2 mois.  LUDOVIC CAREME POUR LE MONDE
    Véritable favela verticale de quatorze étages, sans ascenseur, une centaine de familles comme celles d’Ester occupent l’édifice de béton. Ici, chacun s’est aménagé une vie de bric et de broc, arrangeant au mieux les petits appartements, réparant au fil des ans les tuyauteries, installant l’eau, l’électricité, organisant des événements culturels. Pour la sécurité de l’ensemble, des architectes ont même été mandatés par Carmen Silva, 58 ans, à la tête du Mouvement des travailleurs sans toit du centre (MSTC), émanation du Mouvement national des travailleurs sans toit (MTST).

    Des « terroristes » aux yeux du président Bolsonaro

    Formé de militants de gauche, le MTST comme le MSTC envahissent les bâtiments abandonnés par les collectivités publiques, des entreprises privées, et parfois de riches particuliers, pour revendiquer, en vain, depuis près de quarante ans, la mise en place d’une politique de logement social. Cet activisme, qui se fonde sur le droit à l’habitat figurant dans la Constitution de 1988, vaut à Carmen, Ester, et à tous les membres du mouvement social d’être aujourd’hui qualifiés de « terroristes » par le président, Jair Bolsonaro. Des « bandits », des « bons à rien », de la même trempe, aux yeux du chef de l’Etat, que les militants du Mouvement des sans-terre (MST) qui dans les campagnes occupent des terrains abandonnés pour imposer une réforme agraire.

    Le Monde - https://www.lemonde.fr/international/article/2019/03/20/face-a-bolsonaro-la-resistance-des-sans-toit_5438898_3210.html

    2. Problématiques environnementales

    Anadarko Petroleum Corporation au Colorado
     
    Le recul de l'Amazonie dans l'État du Pará



     

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